Vous cherchez une alternative à Messenger ou WhatsApp ? Je vous invite aujourd’hui à découvrir Treebal, une application de messagerie instantanée « made in France » disponible sur Android et iOS. Cocorico !
Une messagerie instantanée éco-responsable
L’application Treebal a été conçue par la société française Dolmen basée à Saint-Grégoire, près de Rennes. Et contrairement aux GAFAM, l’entreprise rennaise se veut éco-responsable en plantant des arbres grâce à son appli. À l’heure où j’écris ces lignes, ce sont pas moins de 23 953 arbres qui ont déjà été plantés.
Tout comme les autres applications de messagerie, Treebal vous permet de discuter avec vos amis ou votre famille via un système de chat. Vous pouvez également envoyer et recevoir des fichiers (photos, vidéos, documents, etc.) et même passer des appels vidéo.
Enfin, cerise sur le gâteau, l’application Treebal utilise un protocole de chiffrement open source. Ainsi, tous vos messages, contenus et métadonnées sont chiffrés de bout en bout. En d’autres termes, toutes vos données personnelles sont protégées.
« Personne, pas même nos développeurs, n’a accès aux contenus des messages échangés dans Treebal, ni à aucune donnée sur l’activité des utilisateurs, que ce soit leur localisation ou leurs usages. », souligne Samuel Le Port, l’un des co-fondateurs de Dolmen.
Par ailleurs, notez que tous vos messages sont conservés pendant une durée maximale de 7 jours dans le but de libérer de la place sur les serveurs et réduire l’empreinte carbone.
À la fois gratuite et payante
L’application Treebal est gratuite pour le grand public et payante pour les entreprises. Treebal Pro, c’est 4€ HT par mois dont la moitié des revenus générés sert à financer des projets de reforestation. Enfin, notez que dans un futur proche, certaines fonctionnalités deviendront payantes (sans plus de précision…). Treebal est pour l’heure accessible en Europe mais espère bien aussi s’exporter.
Pour plus d’informations sur l’application et les projets de reforestation de l’entreprise Dolmen, rendez-vous sur leur site web.
Source : Bretagne-economique.com