10 choses à faire après l’installation de Linux pour bien démarrer

Que faire après l’installation de Linux : personnalisation et optimisation du système

Installer Linux sur un PC, c’est une chose. Mais une fois le système en place, il reste quelques ajustements à faire pour optimiser son utilisation, améliorer les performances et sécuriser son environnement. Voici une liste complète des actions à effectuer après l’installation de Linux.

📝 Note : cet article a été rédigé en utilisant Ubuntu, mais la plupart des étapes sont similaires sur les autres distributions Linux. Lorsque des différences existent, nous préciserons les alternatives pour les distributions qui ne sont pas basées sur Debian.

1. Mettre à jour le système

Cela peut paraître étrange, mais la première chose à faire après l’installation d’une distribution Linux, c’est de mettre à jour le système 🙃. En effet, la plupart du temps, les images ISO utilisées pour l’installation n’intègrent pas toujours les derniers correctifs.

Alors, pour éviter les bugs et profiter des dernières améliorations, il faut mettre à jour les paquets. Voici comment faire.

Via le Gestionnaire de mises à jour

Si vous utilisez Ubuntu ou une autre distribution avec un gestionnaire graphique, voici comment procéder :

  1. Ouvrez Gestionnaire de mises à jour.
Ouvrir le Gestionnaire de mises à jour
  1. Il vérifiera automatiquement s’il y a des mises à jour disponibles.
  2. Cliquez sur « Installer maintenant » pour appliquer les mises à jour.
Installer les mises à jour disponibles pour cet ordinateur via le Gestionnaire de mises à jour
  1. Redémarrez votre système si nécessaire.

Via la ligne de commande

Si vous préférez la ligne de commande, voici comment mettre à jour votre distribution en fonction de votre système :

Pour les distributions basées sur Debian (Ubuntu, Linux Mint, Elementary OS, Pop!_OS, Zorin OS, etc.)

sudo apt update && sudo apt upgrade -y
Commande pour mettre à jour les distributions Linux basées sur Debian

Pour Fedora :

sudo dnf upgrade -y

(Fedora n’a pas besoin d’une commande update, dnf upgrade suffit.)

Pour Arch Linux et Manjaro :

sudo pacman -Syu

Ces commandes téléchargent les mises à jour et appliquent les derniers correctifs de sécurité.

2. Installer les pilotes graphiques

En général, Linux détecte automatiquement le matériel de votre ordinateur et installe les pilotes nécessaires. Pour les cartes graphiques intégrées (AMD et Intel), les pilotes open-source sont généralement inclus et fonctionnent sans intervention.

Cependant, si vous utilisez une carte graphique dédiée (NVIDIA, AMD Radeon ou Intel Arc), il peut être nécessaire d’installer un pilote propriétaire pour profiter de meilleures performances, notamment en jeu ou pour certaines applications.

Via l’interface graphique (Ubuntu, Linux Mint, etc.)

  1. Ouvrez Logiciels et mises à jour (ou Gestionnaire de pilotes selon votre distribution).
Ouvrir Logiciels et mises à jour
  1. Rendez-vous dans l’onglet « Pilotes additionnels ».
  2. Les pilotes disponibles pour votre carte graphique s’afficheront. Sélectionnez le pilote recommandé et appliquez les modifications.
  3. Redémarrez votre système pour appliquer les changements.
Pilotes additionnels

Télécharger les pilotes graphiques depuis les sites officiels

Si votre distribution ne propose pas le pilote adapté ou si vous souhaitez installer la dernière version disponible, vous pouvez également télécharger et installer les pilotes directement depuis les sites des fabricants :

🔹 Pilotes NVIDIA : Télécharger sur le site officiel
🔹 Pilotes AMD Radeon : Télécharger sur le site officiel
🔹 Pilotes Intel Arc : Télécharger sur le site officiel

💡 Remarque : Avant d’installer un pilote téléchargé manuellement, pensez à bien vérifier la compatibilité avec votre distribution Linux et à suivre les instructions du fabricant.

3. Installer les logiciels essentiels

Linux est livré avec un certain nombre de logiciels de base, mais selon vos besoins, vous voudrez peut-être en ajouter d’autres. Pour ce faire, suivez ces étapes :

Via le Centre d’applications

Si vous préférez une interface graphique, le plus simple est de passer par le Centre d’applications de votre distribution. Il vous suffit de rechercher les logiciels dont vous avez besoin et de les installer en un clic.

Si une application ne figure pas dans le Centre d’applications (comme Google Chrome), vous pouvez la télécharger directement sur le site du développeur. Assurez-vous de choisir le bon format de fichier en fonction de votre distribution :

  • .deb pour Ubuntu, Linux Mint et Debian
  • .rpm pour Fedora et openSUSE

Via la ligne de commande

Si vous êtes à l’aise avec le terminal, voici comment installer les logiciels les plus courants en ligne de commande :

  • Firefox (déjà installé sur de nombreuses distributions) :
sudo apt install firefox

Messagerie et communication

  • Thunderbird (client e-mail) :
sudo apt install thunderbird

Multimédia

  • VLC (lecteur multimédia) :
sudo apt install vlc
  • Audacity (édition audio) :
sudo apt install audacity
  • OBS Studio (streaming et capture vidéo) :
sudo apt install obs-studio
  • Kdenlive (montage vidéo) :
sudo apt install kdenlive

Graphisme et édition d’images

  • GIMP (éditeur d’images) :
sudo apt install gimp
  • Krita (dessin numérique et peinture numérique) :
sudo apt install krita
  • Pinta (alternative légère à Paint.NET) :
sudo apt install pinta

Jeux et téléchargement

  • Steam (plateforme de jeux vidéo) :
sudo apt install steam-installer
  • Deluge (client torrent) :
sudo apt install deluge

Utilitaires

  • FileZilla (client FTP) :
sudo apt install filezilla
  • Rar, Unrar et Unzip (outils de compression/décompression) :
sudo apt install rar unrar unzip
  • KeePassXC (gestionnaire de mots de passe sécurisé) :
sudo apt install keepassxc
  • BleachBit (nettoyage du système) :
sudo apt install bleachbit
  • Simple Screen Recorder (enregistrement d’écran) :
sudo apt install simplescreenrecorder
  • Shutter (outil de capture d’écran avancé) :
sudo apt install shutter

💡 Remarque : Ces commandes sont adaptées aux distributions basées sur Debian (Ubuntu, Linux Mint, Pop!_OS, etc.). Pour Fedora, remplacez apt par dnf, et pour Arch Linux, utilisez pacman -S.

4. Installer Flatpak

Si une application n’est pas disponible dans le Centre d’applications ou via le gestionnaire de paquets classique, Flatpak est une excellente alternative. Ce format permet d’installer des logiciels récents, indépendamment de la distribution Linux utilisée, tout en garantissant un bon niveau de sécurité et d’isolation.

Installer Flatpak sur votre système

Certaines distributions intègrent déjà Flatpak par défaut. Si ce n’est pas le cas, vous pouvez l’installer manuellement :

Sur Ubuntu et Debian (déjà installé par défaut sur Linux Mint , mais si nécessaire)

sudo apt install flatpak
Installer Flatpak sur Ubuntu Linux

Sur Fedora (déjà installé par défaut, mais si nécessaire)

sudo dnf install flatpak

Sur Arch Linux et Manjaro

sudo pacman -S flatpak

Après l’installation, il est recommandé d’activer Flathub, le principal dépôt d’applications Flatpak :

flatpak remote-add --if-not-exists flathub https://flathub.org/repo/flathub.flatpakrepo
Activer Flathub sur Ubuntu Linux

Installer une application avec Flatpak

Une fois Flatpak et Flathub configurés, vous pouvez installer des logiciels en utilisant la commande suivante :

flatpak install flathub nom-de-l-application

Par exemple, pour installer Spotify, Discord ou Okular :

flatpak install flathub com.spotify.Client
flatpak install flathub com.discordapp.Discord
flatpak install flathub org.kde.okular

Lancer une application Flatpak

Une fois installée, vous pouvez lancer une application Flatpak via votre menu d’applications ou avec la commande :

flatpak run identifiant-de-l-application

Exemple pour Okular :

flatpak run org.kde.okular

Mettre à jour et désinstaller une application Flatpak

Mettre à jour toutes les applications Flatpak :

flatpak update

Supprimer une application Flatpak :

flatpak uninstall identifiant-de-l-application

Avantages de Flatpak

  • Applications récentes : Permet d’installer la dernière version d’un logiciel, même si votre distribution ne l’a pas encore dans ses dépôts.
  • Indépendant de la distribution : Fonctionne sur presque toutes les distributions Linux.
  • Sécurité renforcée : Les applications Flatpak sont isolées du reste du système (sandboxing).

💡 Remarque : Flatpak prend plus d’espace disque que les paquets traditionnels (.deb ou .rpm), car chaque application embarque ses propres dépendances.

5. Installer Wine ou Bottles (exécuter des applications Windows)

Linux propose de nombreuses alternatives aux logiciels Windows, mais certaines applications spécifiques n’ont pas d’équivalent direct. Heureusement, des outils comme Wine et Bottles permettent d’exécuter des logiciels et des jeux Windows sous Linux sans machine virtuelle.

Wine : exécuter des applications Windows directement

Wine (Wine Is Not an Emulator) est une couche de compatibilité permettant de faire fonctionner des logiciels Windows sous Linux. Il ne s’agit pas d’un émulateur, mais d’une réimplémentation des bibliothèques Windows.

Installation de Wine

Ubuntu, Linux Mint, Debian :

sudo apt install wine
Installer Wine sur Ubuntu Linux

Fedora :

sudo dnf install wine

Arch Linux et Manjaro :

sudo pacman -S wine

Configurer Wine après l’installation

Une fois installé, il est recommandé de lancer la configuration de Wine avant d’exécuter un programme :

winecfg
Configuration de Wine

Cette commande permet de choisir la version de Windows émulée (Windows 7, 10, 11…), de configurer l’audio et d’installer des bibliothèques supplémentaires si nécessaire.

Exécuter une application Windows avec Wine

Une fois Wine installé, vous pouvez exécuter un fichier .exe en utilisant :

wine ~/Téléchargements/programme.exe

💡 Astuce : Si vous ne voulez pas taper le chemin manuellement, vous pouvez glisser-déposer le fichier .exe dans le terminal après avoir tapé wine , et le chemin s’ajoutera automatiquement.

Si vous installez un programme nécessitant une configuration spécifique (comme Microsoft Office ou certains jeux), il peut être utile d’installer Winetricks, un outil permettant d’ajouter des bibliothèques et dépendances Windows :

sudo apt install winetricks # Pour Debian/Ubuntu/Linux Mint
winetricks

Bottles : une alternative plus simple et intuitive

Bottles est une interface graphique qui facilite la gestion de Wine en permettant de créer des environnements isolés (appelés bouteilles) pour chaque application Windows. Cela simplifie la configuration et évite les conflits entre différents logiciels.

Installation de Bottles

Via Flatpak (recommandé) :

flatpak install flathub com.usebottles.bottles

Lancer Bottles après l’installation :

flatpak run com.usebottles.bottles

À lire : 👉 Bottles : exécuter des applications et jeux Windows sur Linux

6. Configurer les paramètres de confidentialité

Par défaut, certaines distributions Linux activent des options comme la collecte de statistiques ou la synchronisation en ligne. Pour ajuster cela :

  1. Allez dans Paramètres > Vie privée et sécurité
  2. Désactivez les options qui ne vous conviennent pas (par exemple, la localisation de l’appareil, l’envoi des rapports d’erreur, etc.).
Configurer les paramètres de confidentialité

7. Activer le pare-feu

Par défaut, Linux est un système sécurisé, mais il est toujours recommandé d’activer et de configurer un pare-feu pour renforcer la protection de votre machine. UFW (Uncomplicated Firewall) est l’outil le plus simple pour gérer le pare-feu sous Linux. Il permet de contrôler facilement les connexions entrantes et sortantes sans avoir à manipuler directement iptables.

Vérifier l’état du pare-feu

Avant d’activer le pare-feu, vérifions s’il est déjà en cours d’exécution :

sudo ufw status
  • Si vous obtenez : État: inactif → Le pare-feu n’est pas activé.
  • Si vous obtenez : Status: active → Le pare-feu est déjà activé.

Activer le pare-feu

Pour activer UFW, utilisez la commande suivante :

sudo ufw enable
Activer UFW sur Ubuntu Linux

💡 Note : Une fois activé, UFW bloque par défaut toutes les connexions entrantes non autorisées tout en permettant les connexions sortantes.

Autoriser certaines connexions (règles essentielles)

Si vous utilisez des applications nécessitant un accès réseau (serveurs web, SSH, etc.), vous devrez ajouter des règles d’exception.

Autoriser SSH (important si vous accédez à votre machine à distance) :

sudo ufw allow OpenSSH

(Si SSH utilise un autre port, remplacez OpenSSH par 22 ou le port personnalisé.)

Autoriser le trafic HTTP (serveur web) :

sudo ufw allow http

Autoriser le trafic HTTPS (sites sécurisés) :

sudo ufw allow https

Autoriser une application spécifique (ex. : Apache, Nginx, etc.) :

sudo ufw allow "Apache Full"

Autoriser un port spécifique (ex. : 8080) :

sudo ufw allow 8080

Bloquer une connexion spécifique

Si vous souhaitez bloquer un service ou un port :

sudo ufw deny 23 # Bloque Telnet (exemple)

Désactiver le pare-feu (si nécessaire)

Si vous souhaitez temporairement désactiver UFW :

sudo ufw disable

💡 Attention : Désactiver le pare-feu expose votre machine aux connexions non sécurisées.

Vérifier les règles appliquées

Pour voir les règles en place :

sudo ufw status verbose

8. Créer un instantané du système (avec Timeshift)

Lorsque vous installez une nouvelle distribution Linux et commencez à la personnaliser, il est judicieux de créer un instantané du système. Cela permet de restaurer votre système en cas de problème, comme une mise à jour défectueuse ou une mauvaise manipulation.

L’outil Timeshift est idéal pour cela. Il fonctionne de manière similaire à la Restauration du système sous Windows, en prenant des instantanés que vous pouvez restaurer à tout moment.

Installer Timeshift

Sur certaines distributions comme Linux Mint, Timeshift est préinstallé. Si ce n’est pas le cas, voici comment l’installer :

Ubuntu, Linux Mint, Debian :

sudo apt install timeshift

Fedora :

sudo dnf install timeshift

Arch Linux et Manjaro :

sudo pacman -S timeshift

Créer un premier instantané avec Timeshift

Lancer Timeshift

Ouvrez Timeshift depuis le menu d’applications ou via le terminal :

sudo timeshift-launcher

Choisir le type d’instantané

Lors du premier lancement, Timeshift vous demandera de choisir entre :

  • RSYNC (recommandé) : Crée des instantanés sous forme de fichiers, économisant de l’espace disque.
  • BTRFS (si votre système utilise ce système de fichiers) : Instantanés natifs pour les distributions utilisant BTRFS (comme Fedora Silverblue).

💡 Si vous ne savez pas quoi choisir, optez pour RSYNC.

Sélectionner l’emplacement de sauvegarde

Timeshift recommande d’utiliser un disque externe ou une partition dédiée pour éviter d’occuper trop d’espace sur le disque principal.

Définir la fréquence des instantanés

Vous pouvez choisir une sauvegarde :

  • Quotidienne
  • Hebdomadaire
  • Mensuelle
  • À chaque démarrage

Créer un instantané immédiatement

Cliquez sur « Créer » pour générer un premier instantané de votre système.

Restaurer un instantané avec Timeshift

Si votre système rencontre un problème, voici comment restaurer un instantané :

  1. Lancer Timeshift.
  2. Sélectionner un instantané.
  3. Dans la liste, choisissez un instantané précédemment créé.
  4. Cliquer sur « Restaurer » et suivre les instructions.

Votre système sera restauré à l’état exact où il se trouvait au moment de la sauvegarde.

💡 Remarque : Si votre système ne démarre plus, vous pouvez utiliser Timeshift depuis un Live USB Linux pour restaurer un instantané.

9. Personnaliser l’environnement de bureau

GNOME est l’un des environnements de bureau les plus populaires sous Linux. Il est épuré et moderne, mais certaines options de personnalisation ne sont pas accessibles directement dans les paramètres classiques.

L’outil GNOME Tweaks (Ajustements GNOME) permet d’affiner l’apparence et le comportement de votre bureau en quelques clics. Il est indispensable pour modifier des éléments comme les thèmes, les extensions, les icônes et les raccourcis clavier.
Installer GNOME Tweaks

Si votre distribution utilise GNOME mais ne propose pas GNOME Tweaks par défaut, vous pouvez l’installer avec cette commande :

Ubuntu, Debian, Linux Mint (édition GNOME) :

sudo apt install gnome-tweaks

Fedora :

sudo dnf install gnome-tweaks

Arch Linux et Manjaro :

sudo pacman -S gnome-tweaks

Une fois installé, vous pouvez le lancer depuis le menu d’applications sous le nom « Ajustements ».

10. Nettoyer le système

Au fil du temps, votre système Linux accumule des fichiers temporaires, des caches et d’autres éléments inutiles qui peuvent ralentir l’ordinateur et occuper de l’espace disque. Pour optimiser les performances, il est recommandé d’effectuer un nettoyage régulier. Deux outils populaires permettent de le faire facilement : Stacer et BleachBit.

Stacer : Une interface tout-en-un pour optimiser Linux

Stacer est un outil graphique qui permet de gérer l’optimisation du système en un seul endroit. Il inclut des fonctionnalités pour nettoyer les fichiers temporaires, surveiller l’utilisation des ressources et gérer les services en cours d’exécution.

Installer Stacer

Ubuntu, Debian, Linux Mint :

sudo apt install stacer

Fedora :

sudo dnf install stacer

Arch Linux et Manjaro :

sudo pacman -S stacer
Stacer

BleachBit : Un nettoyage en profondeur

Si vous souhaitez un nettoyage encore plus poussé, BleachBit est un excellent choix. Il fonctionne comme CCleaner sous Windows et permet de supprimer les fichiers inutiles laissés par les navigateurs, les mises à jour et d’autres programmes.

Installer BleachBit

Ubuntu, Debian, Linux Mint :

sudo apt install bleachbit

Fedora :

sudo dnf install bleachbit

Arch Linux et Manjaro :

sudo pacman -S bleachbit
BleachBit

Conclusion

Votre système Linux est maintenant prêt à être utilisé dans les meilleures conditions. Bien sûr, selon votre distribution et vos besoins, certaines étapes seront plus ou moins utiles. C’est à vous de juger. Quoi qu’il en soit, profitez bien de votre nouvelle installation Linux 😉 !

Et si vous avez d’autres astuces que vous utilisez après une installation Linux, n’hésitez pas à les partager en commentaire !


Cet article vous a plu ? N'hésitez pas à le partager sur les réseaux sociaux et abonnez-vous à JustGeek sur Google News pour ne manquer aucun article !

Et si vous souhaitez aller plus loin dans votre soutien, vous pouvez nous offrir un petit café virtuel ☕️. Merci pour votre soutien ❤️ !

Offrez-nous un café
Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Article précédent
Sécurité numérique et contrôle d'accès : fusion des technologies mobiles et physiques.

Cybersécurité 360° : comment repenser l’accès physique pour un monde connecté ?

À découvrir également