Les cyberattaques, les arnaques en ligne ou encore le cyberharcèlement ne cessent de se multiplier et il devient parfois difficile de savoir comment réagir en cas de problème. Pour aider les victimes, le gouvernement a lancé la plateforme 17Cyber, un outil accessible 24h/24 et 7j/7.
Ce service en ligne, lancée en collaboration avec la Gendarmerie nationale, la Police nationale et Cybermalveillance.gouv.fr, permet de signaler ces incidents et d’obtenir rapidement une aide concrète.
Dans cet article, nous allons vous expliquer en détail ce qu’est 17Cyber et surtout comment l’utiliser.
17Cyber, c’est quoi ?
17Cyber est une plateforme de signalement en ligne accessible à l’adresse 17cyber.gouv.fr. Imaginé comme l’équivalent en ligne de l’appel au 17, ce service permet de signaler tout type de cyberattaque ou d’infraction numérique (vols de données, phishing, ransomware, cyberharcèlement ou piratage de compte). Le but étant de simplifier les démarches pour les victimes et de leur proposer des conseils ou une assistance adaptée à leur situation.
L’idée est de centraliser plusieurs dispositifs d’assistance au sein d’un même espace. Vous n’avez plus besoin de chercher par vous-même vers qui vous tourner : 17Cyber vous guide dans les étapes à suivre et vous met directement en relation avec un agent de police, un gendarme ou un expert en cybersécurité, si nécessaire.
À noter que ce service s’adresse à tout le monde : particuliers, entreprises, associations ou encore collectivités territoriales.
Comment fonctionne 17Cyber ?
L’utilisation de 17Cyber est simple et rapide. Voici les étapes à suivre :
- Rendez-vous sur le site 17Cyber.gouv.fr.
- Signaler votre incident. Pour ce faire, cliquez sur le bouton « Faire le diagnostic de votre situation », puis décrivez la situation à laquelle vous êtes confronté. Par exemple, si vous avez reçu un e-mail de phishing, que votre ordinateur est infecté par un ransomware ou que vous subissez du cyberharcèlement, répondez aux différentes questions posées.
- Le système va ensuite analyser les informations que vous avez fournies et vous propose des recommandations sur les actions à mener (par exemple : déconnecter l’appareil, changer les mots de passe, contacter votre banque, etc.).
- En fonction de la nature du problème, vous pourrez être mis en relation avec un agent de la Gendarmerie ou de la Police par tchat pour vous guider dans vos démarches.
Quels types d’attaques pouvez-vous signaler ?
Sur 17Cyber, il est possible de signaler de nombreux types de cyberattaques, dont les plus courants sont :
- Le phishing (hameçonnage) : ces e-mails frauduleux qui tentent de vous soutirer des informations confidentielles (mots de passe, informations bancaires, etc.).
- Les ransomwares : ces logiciels malveillants qui verrouillent l’accès à vos fichiers et exigent une rançon.
- Les piratages de comptes : lorsque l’on perd l’accès à un compte de réseau social, de messagerie ou à une application.
- Le cyberharcèlement : insultes, menaces ou comportements malveillants reçus en ligne.
- Les vols de données : accès ou copie de vos données personnelles ou professionnelles.
Conclusion
Avec l’augmentation des cyberattaques, 17Cyber est un outil bienvenu pour les victimes. Simple, accessible et efficace, il permet de signaler un problème, d’obtenir un diagnostic et de recevoir des conseils adaptés. Alors, la prochaine fois que vous êtes confronté à une situation de ce type, n’hésitez pas à vous rendre sur 17Cyber.gouv.fr.
« Le gouvernement a lancé la plateforme 17Cyber »
Le problème, c’est qu’en c’est ce même gouvernement qui harcèle, nous le signalons à qui ?
Pour rappel, la majorité dite présidentielle à une armée de Trolls chargée de harceler en ligne certains journalistes.
Un journaliste du monde, qui à l’époque était chargé de vérifier les faits (Décodex – Les Décodeurs), avait été harcelé des mois par des aînés, comme diraient les Québecois, membres du Parti présidentiel, ils étaient allés jusqu’à menacer sa compagne de mort en indiquant où elle travaillait, plus des photos d’elle, cela indique que certains l’avaient traqué physiquement.
Le mieux étant d’interdire les réseaux sociaux qui n’ont aucune utilité, qui ne servent vraiment à rien, qui gaspillent outrancièrement de l’énergie et polluent massivement, car ils doivent être accessibles 24h/24, 7j/7 et les centres de stockage tournent donc à plein régime.
Sans compter qu’ils sont presque tous sous juridiction étatsunienne, ainsi pourquoi ne pas les interdire.
Pour les arnaques, je ne vois pas à quoi il va servir, il y a déjà un site de la répression des fraudes, qui ne fait rien.
Quand c’est la presse qui harcèle, cela va changer quoi ?!
Voyez ce qui a été fait il y a quelques semaines avec ce docteur en Sciences Politiques, enseignant (Nedjib Sidi Moussa), qui sur France 5 dans l’émission C-Politique a signalé qu’un écrivain présenté comme un Voltaire moderne était d’extrême droite et ségrégationiste.
Tout le groupe Bolloré a incité à la haine envers cet enseignant, cela a déclenché une cabale médiatique et une surenchère sur toutes les autres chaines de télévision ainsi que sur les réseaux sociaux, or le groupe Bolloré mentait, il lui faisait tenir des propos qu’il n’avait jamais tenus, pas un seul des existés n’est allé vérifié la séquence incriminée.
Certains chroniqueurs ont même appelé à son meurtre.
L’Arcom a fait quoi ? Rien !
Le Procureur de la République pour Paris, ou les Haut de Seine, a fait quoi ?! Rien !
Ce qui est dôle par ailleurs c’est que la même cabale mensongère avait été faite envers un autre ensignant qui a fini décapité : Paty Samuel.
Il n’y a que les personnes qui ont les moyens financiers, ou l’autorité publique, qui peuvent agir, pour les autres cela ne changera strictement rien, ces plateformes ne sont que du vent.
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